Devant des vidéos projetées d’Adam Zuabi où se côtoient la grand-mère de la poétesse, des vagues de la Méditerranée et la vieille ville d’Haïfa, la poétesse palestinienne fait entendre une voix entière à laquelle se croisent le chant et la musique d’Haya Zaatry, pour une poésie de la révolte, faite à égale mesure de désir et de distance. « J’avoue, j’ai volé le mouton par une nuit sans lune / J’ai mis la lune dans le frigo pour que les poètes ne la chantent pas / Et l’espoir est devenu désert aride / Et les anges pensaient que c’était la fin / Et soufflaient dans leurs trompettes. »
Distribution
Avec Asmaa Azaizeh, Haya Zaatry
Poème Asmaa Azaizeh Musique, chant Haya Zaatry Vidéo Adam Zuabi Traduction en français pour le surtitrage Henri jules Julien
Production
Production Asmaa Azaizeh, Haya Zaatry, Adam Zuabi Production déléguée Haraka Baraka Coproduction Théâtre Cinéma de Choisy-le-Roi Scène conventionnée pour la diversité linguistique En partenariat avec France Médias Monde
Photos
Audiovisuel
"Ne me croyez pas si je vous parle de la guerre" - Asmaa Azaizeh, extraits