Devant des vidéos projetées d’Adam Zuabi où se côtoient la grand-mère de la poétesse, des vagues de la Méditerranée et la vieille ville d’Haïfa, la poétesse palestinienne fait entendre une voix entière à laquelle se croisent le chant et la musique d’Haya Zaatry, pour une poésie de la révolte, faite à égale mesure de désir et de distance. « J’avoue, j’ai volé le mouton par une nuit sans lune / J’ai mis la lune dans le frigo pour que les poètes ne la chantent pas / Et l’espoir est devenu désert aride / Et les anges pensaient que c’était la fin / Et soufflaient dans leurs trompettes. »
"Ne me croyez pas si je vous parle de la guerre" - Asmaa Azaizeh, extraits
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