Excuses et dires liminaires de Za

La Vingt-cinquième heure

de Jean-Luc Raharimanana

  • Théâtre
  • Musique
  • Vingt-cinquième heure
Archive 2009

Thierry Bedard et Jean-Luc Raharimanana

Excuses et dires liminaires de Za © DR

Présentation

Quelque part au milieu de l'océan, une île, des rues, des décharges, des plaines immenses et oubliées où se déroulent des tragédies. Quelque part sur une terre où dominent les puissants, entre mémoire et actualité, un temps brouillé où rien ne distingue les faits passés des faits présents. Face à eux : Za, un père à la recherche du corps de son fils emporté par un torrent de détritus, le « fleuve de cellophane ». Sa femme est folle, lui-même semble en proie à la déraison après avoir connu torture et prison. Il invective, demande pardon, s'humilie, s'esclaffe, chante, récite des poèmes. Encerclé de barbarie, Za est réduit à la seule liberté qui lui reste, une liberté immense qu'il brandit dans son désespoir : celle du langage, celle du rire. Entre texte et musique, vagabondage mental, non-sens et calembours, Thierry Bedard et Raharimanana nous entraînent une nouvelle fois aux sources de l'humanité.

Distribution

mise en voix: Thierry Bedard
musique: Tao Ravao
avec: Rodolphe Blanchet, Tao Bravo
Texte publié aux éditions Philippe Rey

Production

Production: Bonlieu Scène nationale Annecy, notoire de l'étranger(s)

Infos pratiques

Photos

Audiovisuel