E.passeur.com

  • Lecture
  • Ça va, ça va le monde !
Archive 2016

Avec RFI 

E.passeur.com © DR

Présentation

Car tous les citoyens du monde sont devenus des migrants en puissance, un businessman aux allures de  mafioso chic a créé sa start-up : E-passeur.com qui, via le téléphone, surveille et  exploite les candidats au départ.  Un refugié peut voyager sans nourriture, sans vêtements de rechange, sans pièce d'identité mais jamais sans téléphone portable. Lors du long périple qu'il va entreprendre, son smartphone sera en permanence son lien au monde et il va laisser des traces numériques partout où il passera. Apatride numérique, sa cyber-identité tracera son destin. Un récit cynique sur l'indifférence du monde occidental.

Avec cette exclamation, ce salut, « Ça va, ça va le monde ! », RFI invite spectateurs et auditeurs à appréhender l'actualité du monde par les mots du théâtre. Pour la quatrième année, RFI propose un cycle de lecture de six textes d'auteurs contemporains francophones issus d'Afrique, du Proche-Orient et de l'Océan indien. Ces créations sont à entendre tous les matins dans le jardin de la rue de Mons puis sur les ondes de la radio mondiale au cours de l'été. Grâce à des auteurs confirmés ou à découvrir, avec le plus souvent des textes inédits, l'objectif est d'inviter les spectateurs et les auditeurs à croiser les imaginaires et à entendre d'autres histoires du monde. Le cycle « ça va, ça va le Monde ! » est coordonné par Pascal Paradou et dirigé par le metteur en scène Armel Roussel dont la compagnie (e)utopia3 participe à la production.

Ces lectures en public sont également diffusées sur les antennes de RFI à partir du 24 juillet : Fréquence Paris - 89 FM et sur rfi.fr

Distribution

de Sedef Ecer (Turquie)

Mise en voix Armel Roussel
Avec Karim Barras, Romain Cinter, Florence Minder et Alexandre Lampert (batterie)

Production

Coproduction le Festival d'Avignon, (e)utopia
Avec le soutien de la SACD dans le cadre de son action culturelle radiophonique

Infos pratiques

Photos

Jardin de la rue Mons © Agnès Mellon

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