"Kono atari no dokoka" de Michikazu Matsune et Martine Pisani, extraits

  • Extraits

Des relations artistiques nouées entre le performeur japonais-autrichien Michikazu Matsune et Martine Pisani, chorégraphe française accompagnée par Theo Kooijman, peintre et interprète néerlandais, est née une question : Que reste-t-il de la danse une fois le spectacle terminé ? Dans Kono atari no dokoka (Quelque part par ici), archives, souvenirs intimes, anecdotes partagées, carnets et dessins seront leurs points d’appui pour reconstituer les premières créations de la carrière de Martine Pisani. Quelque part au Japon, lieu imaginé pour la représentation… Par ici en Europe… Entre poésie à la beauté simple, humour et surtout tendresse, se recompose ce qui reste du passé pour former un présent composé.

Kono atari no dokoka est un lieu à la fois lointain et très proche, aux contours flous et pourtant familiers, un voyage à travers le temps et l’espace. D’une plage de Kobe au port de Marseille, de Paris à Vienne et ailleurs encore, une mémoire collective se tisse en filigrane des histoires personnelles.

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