El pecado que no se puede nombrar

de Roberto Arlt

  • Théâtre
  • Spectacle
Archive 1999

Ricardo Bartís

Argentine

Présentation

Ricardo Bartís, grand agitateur de la scène théâtrale de Buenos Aires, a créé Le péché que l'on ne peut nommer d'après Les Sept Fous et Les Lance-flammes, deux romans de l'auteur argentin des années 30, Roberto Arlt. En 1929, dans les sous-sols d'un petit club social de Buenos Aires, un groupe de sept hommes, unis par l'échec et l'angoisse, ruminent leur utopie : prendre le pouvoir. Pour financer leur entreprise, ils envisagent d'ouvrir une chaîne de bordels, dont les bénéfices permettront de créer une usine d'un gaz toxique qui servira à exterminer la classe capitaliste... Plus que l'intrigue des récits, Bartis et ses comédiens se sont attachés à retrouver l'atmosphère et l'esprit des romans de Roberto Arlt au travers des tribulations loufoques de cette brochette de conspirateurs révolutionnaires perdus : l'air y est oppressant, les situations surréalistes, l'humour noir.

Distribution

Texte : Ricardo Bartís

mise en scène Ricardo Bartís
Assistante à la mise en scène : Laura Aprá
Avec : Sergio Boris, Alejandro Catalán, Gabriel Feldman, Luis Herrera, Fernando Llosa, Luis Machín et Alfredo Ramos
Musique : Carmen Baliero
Lumière : Jorge Pastorino
Costumes : Gabriela Fernández
Scénographie : Norberto Laino
Régie : Ricardo Félix Pérez
Surtitrage : Françoise Thanas

Production

Avec l'aide du : ministère argentin des Relations extérieures
Production de : la Compagnie El Sportivo Teatral
En coproduction avec : le Théâtre San Martín de Buenos Aires
Remerciements au : Festival Theater der Welt
(Les Sept Fous & Les Lance-flammes. Ed. Le Seuil)
Le programme argentin a été réalisé avec l'aide : du ministère argentin des Affaires étrangères, du gouvernement de la ville de Buenos Aires, de l'ambassade de France en Argentine, de l'alliance française de Buenos Aires, de l'Association française d'action artistique-ministère des Affaires étrangères et du département des Affaires internationales du ministère de la Culture et de la Communication
Avec le soutien du : Teatro Babilonia de Buenos Aires
Avec le concours de : Aerolineas Argentinas

Infos pratiques