Tout est né d'une rencontre fortuite avec un corbeau japonais. Il y a quelques années, alors que Josef Nadj répète un solo sur le toit d'un théâtre à Kyoto, un corbeau vient se poser non loin de lui. Dans le regard que le danseur, en plein mouvement, jette sur le sombre volatile, naît en un éclair l'idée d'un spectacle. Le chorégraphe se met à travailler sur cette vision.