Jan Fabre a appris à regarder les visages comme on regarde un paysage ou un espace. Si, chez lui, les gestes physiques sont soumis à la durée et à l’usure du temps, qu’en est-il des larmes et de leur signification, de leur éloquence ? Dans ce sillon, dans l’intimité du silence et des affections, l’artiste anversois renoue avec un sentiment profond, le besoin de consolation