Le couvre-feu marque-t-il la défiance que le pouvoir entretient avec la nuit ? Le couvre-feu constitue-t-il l’estocade finale à l’exception noctambule, où l’on pourrait vivre sans témoin ni surveillance, en laissant place à l’imprévisible ? Est-il le dernier avatar de la relation de défiance que les pouvoirs entretiennent le plus souvent avec la nuit ? Et comment vivre ce moment mystérieux, tantôt ténébreux tantôt étoilé ?
Au bout de la nuit - "La nuit est-elle plus belle que le jour ?", avec Mediapart / la Revue du Crieur
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